I. l’approfondissement de la collaboration multi-entreprise : une priorité pour les acteurs économiques européens:
- 6 Intégration B2B : des avantages clairement identifiés L’intégration B2B contribue très directement à améliorer le niveau de satisfaction des entreprises anglaises, allemandes et françaises. Sur les 15 attributs proposés, 14 recueillent la majorité des suffrages. Seule la réduction des effectifs est minoritaire (42%). Point essentiel à l’heure actuelle, l’intégration a, pour 71% des répondants, un effet positif sur les relations clients et la réduction du temps de cycle des opérations. Trois points derrière, avec 68% des réponses, on retrouve la plus grande flexibilité des processus d’affaires et l’amélioration de la prévision de la demande.
- Intégration B2B : des avantages clairement identifiés L’intégration B2B contribue très directement à améliorer le niveau de satisfaction des entreprises anglaises, allemandes et françaises. Sur les 15 attributs proposés, 14 recueillent la majorité des suffrages. Seule la réduction des effectifs est minoritaire (42%). Point essentiel à l’heure actuelle, l’intégration a, pour 71% des répondants, un effet positif sur les relations clients et la réduction du temps de cycle des opérations. Trois points derrière, avec 68% des réponses, on retrouve la plus grande flexibilité des processus d’affaires et l’amélioration de la prévision de la demande.
II. les entreprises ont une claire vision des défis de la collaboration…
- Des défis organisationnels clairement identifiés Les entreprises ayant fait le choix de la collaboration se heurtent à quatre défis principaux : la difficulté à prévoir les demandes et les délais (41%), un nombre de partenaires commerciaux trop élevé (40%), un manque d’investissement pour permettre le changement du processus (34%) et la complexité du réseau inter-entreprises (31%).
- Des défis informatiques tout aussi identifiés Côté informatique, trois défis se distinguent singulièrement : les coûts de mise en œuvre des systèmes informatiques très élevés (50%), l’intégration de réseaux d’information et la complexité des systèmes informatiques (39%). Des défis d’autant plus importants que les apports de l’informatique aux processus métiers en général – et à la gestion des données en particulier – sont indéniables pour les entreprises interrogées. Concrètement, elles considèrent que l’informatique doit permettre d’améliorer la sécurité des données (84%), d’automatiser les processus métiers (76%), d’aider à respecter les exigences réglementaires (74%), à sécuriser les données de l’entrepris dans le temps (74%) et rendre la gouvernance des données plus fiables (73%).
III. … et de ses pistes d’amélioration
- Des fonctionnalités absentes
En pensant à leur réseau de collaboration B2B, les directeurs techniques interrogées sont lucides sur leurs limites. Plus de 7 sur 10 considèrent qu’il devrait être enrichi de fonctionnalités améliorant l’automatisation des processus (74%), fournissant des métriques et des tableaux de bord sur les performances de l’entreprise (73%) et améliorant la visibilité et le dépannage des processus. « A l’évidence, les entreprises ont pris la mesure de l’importance de l’intégration avec leurs partenaires. Elles souhaitent augmenter leur collaboration, mais en réduisant le nombre de partenaires pour en tirer réellement profit. Elles se montrent sélectives en retenant au sein de leur écosystème les meilleurs partenaires, pour repenser leur business models et améliorer l’expérience du client final en tenant leur promesse d’instantanéité. C’est à ce prix que ces entreprises garderont voire accroitront leurs parts de marché », analyse Sébastien Lamour, Senior Research & Consulting Manager, chez IDC.